Très bien !
Avec un code !
Grâce à l'historique !
Il ne peut pas toucher à un document téléversé !
Quelle prétention !
Vous n'étiez pas là ! On en a parlé pendant des heures !
Cela n'a rien à voir avec l'aide à mourir !
Pas obligatoirement !
Eh oui, il faut accompagner le patient !
La droite extrême ? La droite conservatrice ?
La NUPES va voter avec le RN !
La liberté d'investir !
À domicile, la personne malade est dans la chambre d'à côté, c'est pareil !
Très clair !
Et voilà ! C'est logique !
Il y a toujours des équipes mobiles !
Il s'agit d'un domicile !
Quid des maladies graves ? On ne parle pas d'un simple rhume !
Tout à fait !
Et font perdre du temps !
C'est bien beau tout ça, mais…
Ce n'est pas la même chose !
Je demande une suspension de séance avant que nous ne passions au vote de l'article.
Non, je n'ai pas dit cela !
J'ai demandé une suspension de séance !
Ça suffit ! Votre temps est écoulé !
Ne jouez pas la montre !
C'est vrai !
Je tenais à remercier M. Peytavie d'avoir proposé cet amendement très utile aux personnes qui pourraient éprouver des difficultés à saisir des informations parfois complexes. Nous sommes favorables, pour son inclusivité, à l'utilisation du Falc.
Qui a échoué ?
Les Ehpad se coordonnent déjà avec des unités mobiles ou des réseaux de soins palliatifs, en signant une convention pluriannuelle. Accordons aux établissements la confiance que nous leur devons, pour s'organiser comme ils l'entendent – fût-ce en instaurant un référent – et respectons leur professionnalisme.
Très bien !
Absolument !
À domicile !
Mais les maisons d'accompagnement sont un domicile !
C'est un domicile ! Vous ne savez plus où vous habitez !
Absolument !
…et nous avions bien redéfini le mot care, qui désigne l'accompagnement global des personnes – de tous âges, isolées, malades –, qui n'ont pas forcément besoin d'être hospitalisées, mais qui ont néanmoins besoin de soins en amont des soins palliatifs. Nul besoin, donc, d'opposer les soins d'accompagnement aux soins palliatifs. J'en viens enfin aux arguties sur l'aide à mourir, qui pourrait être dispensée dans les maisons d'accompagnement. Nous en avons également discuté : ces maisons d'accompagnement sont considérées comme un domicile et, à ce titre, les personnes y résidant pourront recevoir un accompagnement particulier en toute fin de vie.
Lors de l'examen du texte en commission spéciale, nous avons évoqué la notion internationalement reconnue d'advance care planning, la planification anticipée des soins,…
Tout à fait !