Tous les résultats

Affiner par date : entre juin 2022 et juin 2024

S'abonner aux résultats
de cette recherche

e-mail
par e-mail
Flux rss
par RSS

Rechercher par législature

Affiner la recherche

Filtrer par type de résultat

Filtrer par sort de l'amendement

Filtrer par député

Résultats 1 à 50 sur 1658 triés par date — trier par pertinence

Sous-Amendement N° 15 à l'amendement N° 14 au texte N° 2642 - Après l'article 1er bis (Tombe)

Selon le Petit Robert, le terme « métropole » se réfère à un territoire par rapport à ses colonies. Or, les départements d’Outre-mer ne sont plus des colonies depuis plusieurs décennies. Il est donc impératif, pour respecter le sens de l’Histoire au plus haut niveau de la représentation nationale, de substituer ce terme anachronique par « Hexagone », un terme géométrique neutre, comme a pu le souligner l’année dernière M. le député Olivier Serva. Pour rappel, lors de l’examen de la loi sur la programmation militaire, l’ensemble de l’hémicycle avait décidé à l’unanimité de remplacer le terme « métropole » par « Hexagone » au sein de cette loi de ...

Consulter

Sous-Amendement N° 16 à l'amendement N° 12 au texte N° 2642 - Après l'article 1er bis (Tombe)

Cet amendement élargit l'étude de ce rapport aux territoires d'Outre-mer suivants : La Réunion, la Guadeloupe et la Martinique. Après le mot :« Mayotte »insérer les mots :« à La Réunion, en Guadeloupe, en Martinique ». Mme Piron

Consulter

Amendement N° 2814 au texte N° 2634 - Article 16 (Sort indéfini)

Dans le cas où un médecin fait valoir sa clause de conscience, cet amendement vise à ce que ce dernier réoriente immédiatement la personne faisant état d’une demande d’aide à mourir, vers un médecin souhaitant participer à cette procédure. Cette écriture reprend l’écriture existante sur la clause de conscience relative à l’interruption volontaire de grossesse. Selon une étude réalisée par la Sfap, 52 % des médecins et 51 % des infirmiers envisageraient d’invoquer leur clause de conscience. Il semble donc essentiel de s’assurer de la bonne prise en charge de la personne demandant l’aide à mourir par un professionnel de santé. À l’alinéa 5, après le mot ...

Consulter

Amendement N° 2418 au texte N° 2634 - Article 14 (Sort indéfini)

Le présent article prévoit que le seul recours en cas de désapprobation de la décision du médecin d’accéder ou non à l’aide à mourir est le recours devant la juridiction administrative. Une telle action en justice peut être trop lourde à porter dans un moment intimement compliqué. Cet amendement prévoit donc la possibilité de suspendre la décision et d’entreprendre une procédure de médiation, en cas de désaccord. Compléter l’alinéa 2 par la phrase suivante :« Cette dernière peut également enclencher une procédure de médiation, dont les conditions sont précisées par voie réglementaire. » M. Ghomi, Mme Piron, M. Fuchs

Consulter

Amendement N° 1861 au texte N° 2634 - Article 11 (Sort indéfini)

Le présent amendement rétablit l'alinéa 7 du texte initial, en privilégiant l'auto-administration par le patient. En effet, dès lors qu'il remplit toutes les conditions de l'article 5, il pourra mettre fin à ses jours sans intervention d'une tierce personne, sauf circonstances exceptionnelles. Rédiger ainsi l’alinéa 8 :« Lorsque celle‑ci n’est pas en mesure d’y procéder physiquement, l’administration est effectuée, à sa demande, soit par une personne volontaire qu’elle désigne lorsqu’aucune contrainte n’y fait obstacle, soit par le professionnel de santé présent. » Mme Pouzyreff, Mme Boyer, M. Haury, Mme Piron

Consulter

Amendement N° 2420 au texte N° 2634 - Article 6 (Sort indéfini)

Tout au long du processus d’aide à mourir, le patient sera amené, et ce à plusieurs reprises, à confirmer la constance de son consentement ou à exprimer le souhait de se rétracter. Il doit en conséquence être apte à exprimer à chacune de ces différentes étapes sa volonté propre, laquelle ne saurait être soumise à quelconque forme de coercition, pression ou influence de la part de tiers, y compris des membres de la famille, des proches ou des professionnels de santé. En insistant sur la notion de volonté répétée, cet amendement garantit que le patient puisse exprimer sa volonté à tout instant, en particulier s’il décidait d’interrompre la ...

Consulter

Amendement N° 2344 au texte N° 2634 - Article 6 (Sort indéfini)

Cet amendement, travaillé avec le Conseil National autoproclamé de la Vieillesse, étend l'accès à l'aide à mourir aux personnes en grande souffrance physique ou psychologique irréversible mais dont le pronostic vital n'est pas engagé. Les grands accidentés peuvent ainsi rester avec des handicaps à vie, très lourds et irrécupérables, en gardant néanmoins toutes leurs capacités cognitives. De grandes dépendances peuvent aussi être secondaires à un accident pathologique grave, comme dans le cas d'un AVC par exemple qui peut créer une impossibilité complète de tout mouvement, en dehors d’un battement des cils. Les patients atteints d’une maladie neurodégénérative à ...

Consulter

Amendement N° 3084 au texte N° 2634 - Article 8 (Sort indéfini)

Amendement de coordination suite à l'introduction de la procédure de décision collégiale à bulletin secret dans le cadre d'une demande d'aide à mourir. I. – Au début de la première phrase de l’alinéa 11, substituer aux mots :« Le médecin se prononce »les mots :« La décision motivée est rendue ».II. – En conséquence, à la même phrase du même alinéa, substituer aux mots :« notifie, oralement et par écrit, sa décision motivée »les mots :« est notifiée par le médecin ». Mme Rist, M. Olive, M. Sorre, M. Fait, Mme Maud Petit, Mme Berete, Mme Le Nabour, M. Dussopt, M. Zulesi, Mme Métayer, Mme Bannier, M. Lamirault, M. Haury, ...

Consulter

Amendement N° 3088 au texte N° 2634 - Article 14 (Sort indéfini)

Amendement de coordination avec l'article 8 qui étend le nombre de professionnels pouvant émettre un avis sur l'attribution de l'aide à mourir. À l’alinéa 2, substituer aux mots :« du médecin »les mots :« des professionnels ». Mme Rist, M. Olive, M. Sorre, M. Fait, Mme Maud Petit, Mme Berete, Mme Le Nabour, M. Dussopt, M. Zulesi, Mme Métayer, Mme Bannier, M. Lamirault, M. Haury, Mme Vignon, M. Bothorel, M. Alauzet, M. Brosse, M. Reda, M. Parakian, Mme Kochert, Mme Yadan, Mme Violland, M. Marchive, Mme Lemoine, Mme Piron

Consulter

Amendement N° 3040 au texte N° 2634 - Article 8 (Sort indéfini)

Cet amendement vise à introduire une procédure de décision collégiale à bulletin secret dans le cadre d'une demande d'aide à mourir. Ce secret ne peut être levé pour garantir l’indépendance et l’impartialité. Après l’alinéa 9, insérer l’alinéa suivant : « À l’issue du recueil des avis mentionnés précédemment, il est procédé à une décision collégiale à bulletin secret de la décision motivée du médecin mentionné au I, des professionnels de santé mentionnés aux a et b du présent II. La décision du collège est prise à la majorité absolue dans le respect du caractère secret de l’avis individuel. Ce secret ne peut pas être levé pour ...

Consulter

Amendement N° 2675 au texte N° 2634 - Article 11 (Sort indéfini)

Cet amendement vise à rendre obligatoire la présence d’un professionnel de santé, même lorsque ce dernier n’administre pas la substance létale. Afin de strictement encadrer cette pratique, il est demandé au professionnel de santé de rester aux côtés du patient afin de veiller au bon déroulé de l’administration de la substance létale. Il ne saura en aucun cas demandé au médecin ou à l’infirmier d’intervenir, mais d’être présent en qualité de vigie pour pallier à tout risque (mauvaise manipulation, rétractation de dernière minute, administration partielle etc.) Le terme de « proximité suffisante » ne permet pas d’intervenir en cas de difficulté majeure ...

Consulter

Amendement N° 2346 au texte N° 2634 - Article 8 (Irrecevable)

Cet amendement, travaillé avec le Conseil National autoproclamé de la Vieillesse, prévoit que l’appréciation de la qualité de vie du demandeur ne soit pas évaluée de façon exclusivement médicale. Il permet au médecin de recueillir l’avis de la personne de confiance du demandeur et à défaut, ou en complément, l’avis de son plus proche aidant ou auxiliaire de vie qui intervient fréquemment auprès de lui, ainsi que celui d’un deuxième médecin, ou soignant, le connaissant pour être en capacité de témoigner de la pertinence de la demande au regard de son parcours de vie et l’état de santé ou de dépendance. Ce sont souvent les personnes au plus proches du patient ...

Consulter

Amendement N° 3313 au texte N° 2634 - Article 7 (Sort indéfini)

Cet amendement vise à préciser que lors de la demande de l'aide à mourir effectuée par le patient, le médecin qui accepte d’examiner cette demande, doit informer la personne des traitements existants au moment de celle-ci et non pas pouvant exister dans le futur. Il s'agit d'éviter une désinformation médicale sur d'hypothétiques traitements pouvant ne jamais voir le jour. À l’alinéa 9, après le mot :« traitements »,insérer le mot :« actuels ». Mme Rist, M. Olive, M. Sorre, M. Fait, Mme Maud Petit, Mme Berete, M. Girardin, Mme Le Nabour, M. Dussopt, M. Zulesi, Mme Métayer, Mme Bannier, M. Lamirault, M. Bernaert, M. Haury, M. Vuibert, Mme Vignon, M. Bothorel, ...

Consulter

Amendement N° 3330 au texte N° 2634 - Article 7 (Sort indéfini)

Cet amendement vise à permettre aux professionnels de santé d’accompagner les patients dès l’âge de 25 ans à rédiger leurs directives anticipées concernant la fin de vie lors des rendez-vous aux âges clés de la vie. Les patients pourraient planifier et exprimer leurs souhaits de manière proactive, tout en bénéficiant du soutien et des conseils de leur médecin. Cette mesure aurait donc plusieurs objectifs : faciliter l’expression des volontés du patient, promouvoir l’autonomie et le respect des choix du patient, garantir une meilleure compréhension des options disponibles, ainsi qu’assurer la conformité avec les souhaits du patient. Après ...

Consulter

Amendement N° 2445 au texte N° 2634 - Article 7 (Sort indéfini)

Inspirée par les pratiques internationales, cette mesure assure que seuls les médecins qualifiés et explicitement volontaires pratiquent l'aide à mourir. L’expérience canadienne montre qu’une très faible minorité de médecins (1,3 % en 2020) ont choisi de s’engager dans ces actes, soulignant la nécessité d’un registre de volontaires pour simplifier les démarches des requérants. Cette liste sera ouverte aux requérants pour simplifier leur démarche. À l’alinéa 4, après le mot :« activité »,insérer les mots :« , volontaire, agréé et inscrit sur un registre du conseil départemental de l’ordre professionnel compétent, ». Mme Vidal, Mme Piron, M. ...

Consulter

Amendement N° 3326 au texte N° 2634 - Article 6 (Sort indéfini)

Cet amendement vise à réintroduire la notion de « moyen terme » dans les conditions d’accès à l’aide à mourir. À la fin de l’alinéa 7, substituer aux mots :« en phase avancée ou terminale »les mots :« engageant son pronostic vital à court ou moyen terme » Mme Rist, M. Sorre, M. Olive, M. Reda, M. Parakian, Mme Yadan, M. Studer, M. Amiel, M. Haury, M. Marchive, Mme Piron, Mme Lemoine

Consulter

Amendement N° 3278 au texte N° 2634 - Article 4 (Adopté)

Cet amendement vise à supprimer l’alinéa 7 qui permettrait aux personnes d’indiquer, dans leurs directives anticipées, leur choix concernant l’accompagnement pour une aide à mourir en cas de perte de conscience irréversible. Cette suppression est justifiée par les risques de complexité et de mauvaise interprétation des directives, ainsi que par les abus et pressions potentiels sur les patients vulnérables. Supprimer l’alinéa 7. Mme Rist, Mme Yadan, Mme Kochert, M. Parakian, M. Reda, M. Vuibert, M. Olive, M. Sorre, Mme Lanlo, M. Amiel, M. Haury, Mme Piron, Mme Lemoine

Consulter

Amendement N° 3004 au texte N° 2634 - Article 4 (Rejeté)

Cet amendement vise à donner la possibilité aux infirmiers en pratique avancée (IPA) de réaliser l'accompagnement des directives anticipées. Les IPA sont en effet parfaitement compétents pour réaliser ce type d'accompagnement. Substituer à l’alinéa 13 les trois alinéas suivants : « c) L’avant-dernier alinéa est ainsi modifié :« – Les mots : « traitant informe ses » sont remplacés par les mots : « ou l’infirmier mentionné à l’article L. 4301‑2 informent leurs » ;« – À la fin, sont ajoutés les mots : « et peuvent les accompagner dans la rédaction de celles-ci » ; » Mme Rist, M. Sorre, M. Olive, M. Fait, M. Le Gac, Mme Maud Petit, ...

Consulter

Amendement N° 5557 au texte N° 2600 - Après l'article 8 (Adopté)

Cet amendement vise à introduire des objectifs chiffrés de surfaces agricoles en agriculture biologique et en légumineuses, en lien avec les objectifs d’installation et de développement des pratiques agroécologiques mentionnés par l'article 8. En effet, au regard de l’importance du soutien aux pratiques agroécologiques dans le cadre de l’installation de nouveaux agriculteurs, les installations étant des moments propices aux transitions agroécologiques et climatiques, il est proposé de rajouter dans la loi des trajectoires chiffrées à l’horizon 2030. Cet amendement est cohérent avec les objectifs adoptés à l’article 1er du présent projet de loi et codifiés à ...

Consulter

Amendement N° 1355 au texte N° 2634 - Article 16 (Sort indéfini)

Les professionnels de santé disposés à la mise en œuvre des procédures d’aide à mourir peuvent se déclarer auprès de la commission chargée du contrôle et de l’évaluation de l’aide à mourir. Cette commission est ainsi chargée de l’enregistrement de l’identité des professionnels de santé s’étant volontairement déclarés comme disposés à la mise en œuvre des procédures d’aide à mourir. Cet amendement vise à prévoir la possibilité pour chaque médecin de s’inscrire au registre de la Commission de contrôle et d’évaluation ainsi que de s’y retirer à tout moment. Compléter l’alinéa 9 par la phrase suivante :« Ils peuvent être ajoutés ou ...

Consulter

Amendement N° AC7 au texte N° 2517 - Après l'article 2 (Retiré avant séance)

Cet amendement a été retiré avant sa publication. Mme Piron, M. Gumbs

Consulter

Amendement N° 172 au texte N° 2621 - Article 8 (Sort indéfini)

Amendement de coordination, visant à harmoniser les dispositions de l’article 8 suite à l’adoption des amendements AC38, AC179 et AC243 lors de l’examen du texte en Commission des Affaires culturelles et de l’éducation, qui excluent France Médias Monde du périmètre de la réforme. Cet amendement modifie l’alinéa 12 pour préciser que, au même titre qu’ARTE-France, le Contrat d’objectifs et de moyens de France Médias Monde continue de s’appliquer jusqu’à son terme ou jusqu’à ce qu’il soit remplacé par une convention stratégique pluriannuelle. Rédiger ainsi l’alinéa 12 :« Les contrats d’objectifs et de moyens conclus avec la société France ...

Consulter

Amendement N° AC6 au texte N° 2517 - Article 1er (Retiré avant séance)

Cet amendement a été retiré avant sa publication. Mme Piron, M. Gumbs

Consulter

Amendement N° 88 au texte N° 2621 - Article 3 (Sort indéfini)

Cet amendement vise à préserver les modalités de gouvernance actuelles de la société France Médias Monde (FMM). Concrètement, il affirme que les fonctions de président-directeur général de FMM ne doivent pas être exercées par le président-directeur général de la holding de l’audiovisuel public ni par celui de la future entreprise unique envisagée dans le cadre de la réforme. La raison principale de cette disposition réside dans les missions spécifiques et particulières de l’audiovisuel extérieur de la France. Ces missions justifient que France Médias Monde reste en dehors du champ de la réforme globale de l’audiovisuel public. En d’autres termes, ...

Consulter

Amendement N° 169 au texte N° 2621 - Article 3 (Sort indéfini)

Cet amendement vise à préserver les modalités de gouvernance actuelles de la société France Médias Monde (FMM). Concrètement, il affirme que les fonctions de président-directeur général de FMM ne doivent pas être exercées par le président-directeur général de la holding de l’audiovisuel public ni par celui de la future entreprise unique envisagée dans le cadre de la réforme. La raison principale de cette disposition réside dans les missions spécifiques et particulières de l’audiovisuel extérieur de la France. Ces missions justifient que France Médias Monde reste en dehors du champ de la réforme globale de l’audiovisuel public. En d’autres termes, ...

Consulter

Amendement N° 87 au texte N° 2621 - Article 2 (Sort indéfini)

Cet amendement précise que l’État continuera à détenir directement le capital de France Médias Monde (FMM). Il réaffirme le fait que FMM n’a pas vocation à figurer dans la holding de l’audiovisuel public ni dans la future entreprise unique envisagée par cette réforme. Cette exclusion est justifiée par les missions spécifiques et stratégiques de l’audiovisuel extérieur de la France. FMM joue un rôle crucial en diffusant la culture et les informations françaises à l’international, renforçant ainsi l'influence et la présence de la France sur la scène mondiale. Le maintien de FMM en dehors de la réforme de l’audiovisuel public garantit sa conservation ...

Consulter

Amendement N° 171 au texte N° 2621 - Article 9 bis (Sort indéfini)

Cet amendement vise à d'exclure France Médias Monde (FMM) de l'entité unique envisagée, France Médias. Cette décision découle de la reconnaissance des missions spécifiques dévolues à l'audiovisuel extérieur de la France, qui justifient pleinement le maintien de FMM en tant que société nationale de programme, chargée de cette sphère médiatique particulière. En retirant FMM du périmètre de la réforme de l'audiovisuel public, cet amendement affirme l'importance de préserver son identité et ses fonctions distinctes. Il s'attache à garantir la continuité des missions de FMM en maintenant ses responsabilités telles qu'elles sont définies dans les articles 44 et 53 de la ...

Consulter

Amendement N° AC9 au texte N° 2517 - Après l'article 1er (Adopté)

Cet amendement met en avant la nécessité d’évaluer et d’analyser les pratiques en matière d’enseignement des langues régionales, d’enseignement plurilingue, ou d’enseignement dans les langues régionales, dans les territoires d’outre-mer. Cette évaluation vise à comprendre l’état actuel de ces pratiques, leur évolution récente, ainsi que leur impact sur la réussite des élèves. Dans un délai de 18 mois après la promulgation de la loi, le Gouvernement est tenu de présenter un rapport au Parlement, contenant ces analyses. Ce rapport doit être exhaustif, examinant les différentes approches utilisées dans l’enseignement des langues régionales, ainsi que les ...

Consulter

Amendement N° 90 au texte N° 2621 - Article 9 bis (Sort indéfini)

Cet amendement vise à exclure France Médias Monde (FMM) de l'entité unique envisagée, France Médias. Cette décision découle de la reconnaissance des missions spécifiques dévolues à l'audiovisuel extérieur de la France, qui justifient pleinement le maintien de FMM en tant que société nationale de programme, chargée de cette sphère médiatique particulière. En retirant FMM du périmètre de la réforme de l'audiovisuel public, cet amendement affirme l'importance de préserver son identité et ses fonctions distinctes. Il s'attache à garantir la continuité des missions de FMM en maintenant ses responsabilités telles qu'elles sont définies dans les articles 44 et 53 de la ...

Consulter

Amendement N° AC8 au texte N° 2517 - Article 1er (Adopté)

Le présent amendement a pour objectif de promouvoir et de préserver les langues et cultures régionales en usage sur les territoires d’Outre-mer. Il vise à assurer l’enseignement de ces langues et cultures dans le parcours éducatif du premier degré des élèves, contribuant ainsi à la valorisation et à la transmission du patrimoine culturel local tout en favorisant leur réussite scolaire. Cette priorité particulière donnée aux établissements du premier degré, c’est-à-dire aux écoles maternelles et primaires, permet de garantir une familiarisation précoce et continue des jeunes élèves avec leur patrimoine culturel. Cette approche précoce est essentielle pour ancrer ...

Consulter

Amendement N° 170 au texte N° 2621 - Article 5 (Sort indéfini)

Cet amendement insiste sur la nécessité de maintenir une convention stratégique pluriannuelle distincte pour France Médias Monde (FMM), laquelle ne doit en aucun cas être assimilée à celle applicable à la holding de l’audiovisuel public ou à la future entreprise unique en cours d'élaboration. Il met en avant les missions particulières et spécifiques de l'audiovisuel extérieur de la France pour justifier le maintien de FMM en dehors du périmètre de la réforme de l'audiovisuel public. En d'autres termes, il souligne que les fonctions de FMM doivent être préservées de toute réorganisation structurelle visant le paysage audiovisuel public français. Cette décision ...

Consulter

Amendement N° 89 au texte N° 2621 - Article 5 (Sort indéfini)

Cet amendement insiste sur la nécessité de maintenir une convention stratégique pluriannuelle distincte pour France Médias Monde (FMM), laquelle ne doit en aucun cas être assimilée à celle applicable à la holding de l’audiovisuel public ou à la future entreprise unique en cours d'élaboration. Il met en avant les missions particulières et spécifiques de l'audiovisuel extérieur de la France pour justifier le maintien de FMM en dehors du périmètre de la réforme de l'audiovisuel public. En d'autres termes, il souligne que les fonctions de FMM doivent être préservées de toute réorganisation structurelle visant le paysage audiovisuel public français. Cette décision ...

Consulter

Amendement N° 62 au texte N° 2621 - Article 5 (Sort indéfini)

Le présent amendement a pour objectif de garantir la publicité des conventions stratégiques pluriannuelles conclues entre les entreprises de l'audiovisuel public et l'Etat, à l'image de ce qui se fait actuellement avec les contrats d'objectifs et de moyens (COM). En effet, dans un soucis de transparence et d'équité avec les chaînes du privé dont les conventions passées avec l'Arcom sont rendues publiques, il apparait nécessaire d'assurer une réelle visibilité des citoyens sur les objectifs et orientations poursuivis par les chaînes du service public. La consécration du principe de publication des COM ayant pu prendre un certain temps par le passé, cet amendement vise ainsi à ...

Consulter

Amendement N° 61 au texte N° 2621 - Article 5 (Sort indéfini)

Les ressources propres représentent aujourd'hui une part non négligeable des ressources des sociétés de l’audiovisuel public. Or diffuser de la publicité n'est pas dans le cœur des missions de l'audiovisuel. Le temps de diffusion et donc le temps des citoyens pourrait servir à autre chose. le temps d'attention est une denrée très sollicitée, le public pourrait voir l'absence de publicité comme un élément distinctif et bienvenu pour intensifier le plaisir d'écoute et de visionnage. Par ailleurs, les ressources publicitaires sont la ressource unique des chaînes privées, or certains annonceurs confient aux médias publics ce qu'ils pourraient confier aux chaines gratuites ...

Consulter

Amendement N° 4262 au texte N° 2600 - Article 1er ter (Retiré avant séance)

Amendement rédactionnel visant également à exprimer le soutien du groupe Renaissance à cet article issu d'un amendement d'Eric Martineau visant à prévoir une aide au démarrage spécifique pour les agriculteurs membres d'une organisation de producteurs. À l’alinéa 2, substituer aux mots :« producteurs organisés »les mots :« agriculteurs membres d’une organisation de producteurs au sens de l’article L. 551‑1 ». M. Pacquot, M. Abad, Mme Abadie, M. Adam, M. Alauzet, M. Amiel, M. Anglade, M. Ardouin, M. Armand, M. Bataillon, M. Beaune, M. Becht, M. Belhaddad, M. Belhamiti, Mme Berete, M. Bernaert, M. Bordat, Mme Borne, M. Bothorel, M. Boudié, Mme Chantal Bouloux, ...

Consulter

Amendement N° 4152 au texte N° 2600 - Article 1er (Adopté)

Cet amendement de réécriture générale de l'article 1er a été travaillé en concertation avec différents groupes politiques. Elle prend en compte de nombreuses modifications adoptées en commission, telles que la mention du pastoralisme à l'article L.1A du code rural et de la pêche maritime, l'intégration de la protection de l'agriculture dans le périmètre de la définition d'intérêt général majeur, ainsi que la nécessité de développer des politiques visant au maintien d'un élevage durable en France, un juste revenu pour les agriculteurs, et de les préserver de la concurrence déloyale de produits importés issus de systèmes de production ne respectant pas les normes ...

Consulter

Amendement N° 4282 au texte N° 2600 - Après l'article 7 (Adopté)

Les difficultés de maintenir un maillage vétérinaire en zones rurales reposent sur des causes complexes et multifactorielles. Un rapport du CGAAER de 2019 s’inquiète avant tout de la perte de rentabilité économique de l’activité rurale d’un certain nombre de cabinets. Ce rapport souligne aussi l’intérêt d'un dispositif de tuilage, de type « stages tuteurés », au bénéfice des étudiants vétérinaires dans les territoires d’élevages. Aussi, cet amendement inscrit dans la loi l’organisation par les écoles vétérinaires françaises, en dernière années d’études, de stages en milieu rural comprenant des mises en situation professionnelle de soins aux animaux ...

Consulter

Amendement N° 4608 au texte N° 2600 - Article 14 (Retiré avant séance)

Le projet de loi reproduit, pour la méconnaissance du régime de protection des haies qu’il institue, le dispositif de répression prévu à l’article L. 173-1 du code pénal. Ce dispositif de répression, pensé notamment pour les infractions à la législation sur les installations classées pour la protection de l’environnement, prévoit des peines correctionnelles d’emprisonnement et d’amende pouvant atteindre 100 000 euros. Ce dispositif de répression n’est donc pas suffisamment proportionné. L’amendement vise à sanctionner la destruction de haie sans autorisation ou absence d’opposition à déclaration par des peines contraventionnelles proportionnées. L’article ...

Consulter

Amendement N° 4313 au texte N° 2600 - Article 8 (Retiré)

Demande au gouvernement de pérenniser le dispositif dit TO-DE, qui permet à un employeur agricole de bénéficier d'une exonération de charges sur les cotisations et contributions patronales de sécurité sociale dans le cadre du recrutement d'un travailleur occasionnel. Compléter l’alinéa 6 par la phrase suivante :« Il examine également l’opportunité de pérenniser le dispositif des travailleurs occasionnels demandeurs d’emploi occasionnel agricole dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale pour 2025. » M. Pacquot, M. Abad, Mme Abadie, M. Adam, M. Alauzet, M. Amiel, M. Anglade, M. Ardouin, M. Armand, M. Bataillon, M. Beaune, M. Becht, M. Belhaddad, M. ...

Consulter

Amendement N° 4521 au texte N° 2600 - Article 10 (Adopté)

Cet amendement a pour objet de supprimer l’obligation, pour les agriculteurs, d’être en mesure de présenter l’attestation de recours au FSA à l’autorité administrative. D’une part, cette précision ne semble pas relever du domaine de la loi mais du règlement ; d’autre part, cette obligation particulière à la charge des agriculteurs n’est ni en phase avec la politique de dématérialisation des procédures ainsi que le « dites-le nous une fois », ni en phase avec l’objectif de simplification administrative défendue par le titre IV de ce projet de loi. I. – Supprimer la première phrase de l’alinéa 26. II. – En conséquence, supprimer l’alinéa 36. M. ...

Consulter

Amendement N° 4647 au texte N° 2600 - Article 14 (Adopté)

L’amendement a pour objectif de créer un régime dérogatoire à la procédure de déclaration/autorisation de destruction de haie lorsque les travaux sont motivés par une situation d’urgence relative à la sécurité des personnes et des biens ainsi qu’à l’intégrité des réseaux. Il n’a pas pour objet de traiter le cas de force majeure qui s’applique déjà de manière générale. L’amendement vise ainsi à couvrir certaines situations où une action serait nécessaire de manière urgence (ex. : risque de chute d’arbre, chute d’arbres sur des câbles de téléphonie ou électrique, etc.) Ces situations nécessitent d’adapter les règles procédurales, sur les ...

Consulter

Amendement N° 4657 au texte N° 2600 - Article 14 (Adopté)

Etant donné la diversité des conditions climatiques et pédologiques sur le territoire français, entre nord et sud, entre zone de plaine et zone de montagne, appliquer de manière indistincte une même période d’interdiction de travaux sur les haies conduit à une disposition déconnectée de la réalité des territoires, et réduit donc son acceptabilité et sa bonne application sur l’objet de la mesure : la protection d’habitats pendant la période de nidification. La politique agricole commune prévoit, dans la conditionnalité des aides, une bonne condition agricole et environnementale (BCAE 9), demandant la définition de l’interdiction d’une période de taille des haies. ...

Consulter

Amendement N° 4432 au texte N° 2600 - Article 13 (Tombe)

Cet amendement vise à modifier l'article 13 pour préciser que la multiplication des parcelles de vignes abandonnées constitue un problème croissant, favorisant la propagation de la flavescence dorée, une maladie de la vigne soumise à une lutte obligatoire. Cette situation compromet sérieusement la stratégie régionale de lutte contre ce vecteur, nécessitant des traitements réguliers pour prévenir la contamination des parcelles avoisinantes.Les sanctions pénales actuellement en vigueur, reposant sur des procédures d'arrachage administratif ou judiciaire, s'avèrent peu efficaces, coûteuses et longues à mettre en œuvre. Elles ne répondent pas efficacement à l'enjeu posé par ...

Consulter

Amendement N° 1030 au texte N° 2600 - Après l'article 8 (Irrecevable)

Cet amendement vise à autoriser les agriculteurs à installer un logement de fonction et de vivre directement sur leurs exploitations agricoles grâce à des habitations réversibles, c’est à dire sans fondation (maisons en bois, mobil-homes, yourtes...). Ces structures, économes et écologiques, représentent une solution concrète aux défis du renouvellement des générations d'agriculteurs et d’amélioration de leurs revenus. Ces logements de fonction réversibles participeraient « à la transition vers des modèles agricoles plus résilients sur les plans économique, social et environnemental » (article 1 IV de la loi d’orientation agricole). Cet amendement encouragerait ...

Consulter

Amendement N° AC38 au texte N° 1350 - Article 1er (Adopté)

Ce présent amendement vise à retirer France Médias Monde de la Holding pour plusieurs raisons : Tout d’abord, FMM cible un public distinct de celui des autres sociétés d’audiovisuel public. En émettant à l’échelle mondiale dans 21 langues, son audience est principalement internationale. Cette spécificité lui confère une mission unique dans le paysage médiatique, axée sur la représentation de la France à l’étranger et la diffusion de la langue française à travers le monde. Or les synergies naissent sur des points communs ce qui n’est pas le cas avec le public visé. De ce fait, l’intégrer dans ce projet de Holding avec ces autres sociétés dont le public est ...

Consulter

Amendement N° 1027 au texte N° 2600 - Article 5 (Rejeté)

Le Bachelor Agro est destiné à jouer un rôle crucial en tant que norme de qualification élevée, comme indiqué dans l'exposé des motifs du projet de loi. Comme pour tout diplôme élaboré à l'échelle nationale, il est essentiel que les représentants de la profession puissent contribuer à la définition des normes de ce diplôme. Cela se fait à travers leur participation aux instances consultatives telles que le Comité de suivi des cycles licence, master et doctorat (CSLMD). Dans ce processus, les représentants de la profession apportent leur expertise et leur connaissance du terrain pour s'assurer que le référentiel du Bachelor Agro reflète efficacement les besoins et les ...

Consulter

Amendement N° 1029 au texte N° 2600 - Article 5 (Rejeté)

L'intégration de la notion d'agroécologie dans le programme du Bachelor Agro revêt une importance cruciale pour former une nouvelle génération de professionnels agricoles conscients des défis environnementaux. En enseignant dès le début de leur formation les principes de durabilité, de résilience et de sécurité alimentaire liés à l'agroécologie, le Bachelor Agro prépare les étudiants à jouer un rôle clé dans la promotion de pratiques agricoles respectueuses de l'environnement tout au long de leur carrière. Cette approche favorise également l'innovation en encourageant les étudiants à développer une pensée critique et créative, renforçant ainsi leur capacité à ...

Consulter

Amendement N° 83 au texte N° 2457 - Après l'article 3 (Tombe)

Cet amendement a pour objet d'étendre aux centres de loisirs, aux crèches et aux clubs sportifs les dispositifs destinés à la formation des personnels de l'Éducation nationale en matière d'accueil et de suivi des enfants et jeunes handicapés, et notamment ceux présentant un trouble du neuro‑développement (TND). Un rapport publié en novembre 2023 par la Défenseure des droits souligne en effet que nombreuses structures refusent a priori d'accueillir des enfants au motif d'un défaut de formation de leurs personnels et du manque de moyens financiers permettant l'accompagnement individuel des enfants concernés. Outre le fait qu'elle porte atteinte au droit fondamental de ces ...

Consulter

Amendement N° CE3179 au texte N° 2436 - Après l'article 14 (Irrecevable)

Cet amendement a été proposé par la fédération des AOC du Sud-Est. Alors que les exportations françaises représentent le troisième apport à la balance commerciale et que l'urbanisation menace les terres agricoles, il est indispensable de permettre aux agriculteurs de cultiver l’ensemble de leurs parcelles. La raréfaction des terres agricoles entraîne une hausse du prix du foncier, ce qui complique l'installation des jeunes agriculteurs. Les terres agricoles sont soumises à la forte pression de l’urbanisation, des zones de non-traitement, des aménagements linéaires et en particulier les vignobles qui sont principalement situés dans des espaces périurbains. Cette pression ...

Consulter

Amendement N° CE3318 au texte N° 2436 - Après l'article 10 (Irrecevable)

Préserver la stabilité du foncier attaché aux exploitations viticoles revêt une importance capitale pour garantir la pérennité de ces exploitations.Actuellement, lorsqu'une transmission à titre gratuit de terres ou vignes louées à long terme est effectuée (donation ou succession), une exonération fiscale de 75 % est accordée, plafonnée à 300 000€. Ce plafond est porté à 500 000 € si le bénéficiaire s’engage à conserver le bien pendant au moins 10 ans. Au-delà de ces limites, l’exonération est de 50 %.Cependant, il est constaté que la transmission à titre gratuit d'entreprises bénéficie d'une exonération de 75 % sans plafond, ce qui n'est pas le cas pour le ...

Consulter