Les amendements de Benjamin Lucas-Lundy pour ce dossier

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Madame la Première ministre, ma question est simple. il n'est pas trop tard pour apaiser le pays et éviter le blocage.

Quand allez-vous renoncer à voler aux Françaises et aux Français deux années de vie, deux années de vie en bonne santé ?

En vous écoutant, je mesure que ce qui nous oppose, ce n'est pas seulement une divergence comptable, une opposition sociale : c'est un véritable combat moral.

Car nous considérons qu'il est profondément immoral de voler aux Françaises et aux Français deux années de vie, et deux années de vie en bonne santé, de précariser les femmes et celles et ceux qui ont des métiers pénibles, pendant que, à coups d'offrande fiscale, vous permettez à une infime minorité de privilégiés d'accumuler les richesses et d...

Voilà le débat qui nous oppose : il y va de l'égalité et de la justice. Vous êtes droit dans vos bottes, comme d'autres le furent jadis. Mais, croyez-moi, à la fin, vous retirerez cette réforme !

 « Homme libre, toujours tu chériras la mer ! » Par ce vers, Baudelaire décrit l'irrépressible besoin humain de l'évasion, de la contemplation, du voyage. Ce droit au bonheur est gravé non seulement dans le marbre de notre histoire républicaine depuis les premiers congés payés et le Front populaire de 1936, mais aussi dans le marbre de la loi, ...

de votre maltraitance des services publics, du monde associatif et des collectivités locales, des millions d'enfants, de précaires, de salariés et de retraités ne verront ni la mer, ni la montagne, ni notre exceptionnel patrimoine. Le jour de la rentrée, plus de 3 millions d'élèves se sentiront exclus de ce moment merveilleux où l'on raconte s...

Ma question est simple : le Gouvernement est-il prêt à appliquer enfin la loi et à faire du droit aux vacances une réalité pour toutes les familles ?

Je m'étonne que, pour répondre à une question qui a trait à l'émancipation, à l'avenir et au droit au bonheur, le Gouvernement choisisse une secrétaire d'État placée sous l'autorité du ministre des armées. Il y a là, me semble-t-il, une forme de provocation.

Tous les représentants d'associations et de collectivités que nous rencontrons – j'étais à Poitiers hier – estiment que vous n'en faites pas assez en la matière.